mercredi 3 août 2011

Injection serum quinton

Pour information le produit n'a plus d'AMM et donc pas de remboursement.

De plus legalement parlant une infirmière n'a pas de droit de le faire, même un medecin pourrait être attaquer pour charlatanisme.

Dommage ca fonctionne pourtant plutot bien...

Quinton injectable

je n'est pas d'action chez eux, j'ai tester à titre perso et un autre ami proche. Résultat très interessant et objectif pour nous

Pour commander le Quinton :
Source Claire - 33 rue de la Pluche - BP 32 - 91650 BREUX JOUY : 01 64 58 50 83 et 01 64 58 64 82 -
(Quinton ISO flacon 250ml - environ 14.00€). Voir le site internet : www.source-claire.com

mercredi 24 février 2010

Méso-Kit-Perfuseur

Utilisation du Méso-Kit-Perfuseur
Hydrotomie Percutanée
Nouveaux aspects de la Mésoperfusion à travers le concept d’Hydrotomie Percutanée et de la technique


Exposé réalisé par le Docteur Bernard GUEZ à Nice;
Date de Parution : 16 avril 2002



A- Exposé
Cette technique constitue une variante intéressante à l’approche thérapeutique pour s’adresser à des pathologies complexes portant sur une lésion, un organe, voire un organisme tout entier (Cervicalgies rebelles avec Névralgies cervico-brachiale, lombalgies avec canal lombaire étroit et compression radiculaire L5-S1, crise migraineuse aiguë rebelle).
En effet, la technique du « wash-out » de l’organe consisterait à « mésoperfuser » 250 mL sur chaque fosse lombaire et 100 mL sur la région hépato-vésiculaire quotidiennement ou 3 fois par semaine pendant une à deux semaines. Tout en effectuant des dosages de ces mêmes paramètres biologiques à J1, J3, J5, J8, J15, J30, J60, J120…
L’utilisation du Sérum physiologique couplée avec des produits tels que la Procaïne, Buflomédil, Ifenprodil, la Pentoxifylline aurait pour but de provoquer une « diurèse osmotique isotonique ».
Ce type de concept aurait à plus ou moins longue échéance, la possibilité de devenir une arme redoutable braquée sur l’organe pour faire varier le fonctionnement de ce dernier dans un sens ou l’autre selon l’adjonction des thérapeutiques choisies à visées micro-circulatoire, régénératrice, reminéralisatrice, immunostimulante.
En effet, en pathologie générale, tous les praticiens ont été confrontés au problème de la déshydratation du vieillard en été, ce concept permettrait au Sérum physiologique isotonique (1 litre) de faire passer en multipoints (12) une quantité nécessaire pour l’hydratation.

B- Matériel et Techniques
Alors que l’aiguille, la seringue et la main sont le « pistolet » ou le « gun » du praticien, le Méso-Perfuseur ou « pieuvre » va devenir la « mitraillette » ou le « bazooka » braqué sur une grosse lésion ou un organe.
Cette méthode consiste à amplifier le procédé d’Hydrotomie percutanée tumescente sur le plan quantitatif et dans le temps, afin de mieux contrôler l’activité d’un organe dans un sens ou dans un autre et dans les délais les plus rapides, en court-circuitant la voie générale.
Il apparaît ainsi que le tissu sous-cutané en projection orthogonal de la lésion reste le meilleur « réservoir » thérapeutique efficace pour cette même lésion, à condition d’avoir vérifié expérimentalement par des protocoles thérapeutiques validés la bonne utilisation locale de certains produits, à savoir :


- Ses propriétés pharmacologiques locales


- Son pH, sa densité, sa tolérance locale



Actuellement, ce risque devrait pouvoir s’éliminer si l’on utilise le principe de la grande dilution avec du Sérum physiologique comme véhicule.
Le Méso-Kit-Perfuseur permet de créer, en regard de la lésion ou de l’organe, un coussinet ou un matelas d’hydrotomie, qui va constituer un réservoir thérapeutique à libération prolongée sur la lésion.
Ce réservoir thérapeutique est immédiatement disponible, utilisable et assimilable par la cellule pour s’autogérer. Ainsi, on peut faire varier le fonctionnement de l’organe dans le sens souhaité.
Le temps de la Mésoperfusion pourra varier, selon l’indication, d’une demi-heure à plusieurs heures, ceci fera l’objet de protocoles thérapeutiques plus précis qui seront communiqués.
Sur le plan pratique, le flacon de Sérum physiologique doit être situé à 1,50 mètres comme une perfusion normale pour fournir un débit suffisant aux 12 sorties assurant ainsi un mécanisme de « pieuvre » pour mieux cerner la lésion.

Matériel :
Perfuseur avec un perforateur et une roulette réglant le débit.
Ensuite, dichotomie de 12 voies ; à leurs extrémités, une aiguille hypodermique (aiguille de Mésothérapie, 6 à 12 mm).

C- Conclusion
Nous pouvons espérer que la Mésoperfusion constituera une avancée en médecine avec d’autres techniques, d’utilisation facile au cabinet du praticien, voire même à l’hôpital. Elle deviendra l’application locale in situ de la perfusion intraveineuse, qui paraît du moins pour le malade et le praticien plus périlleuse. L’utilisation de ce concept paraît d’une grande sécurité à condition qu’il soit bien connu du praticien.
La formation préalable des praticiens sera souhaitable afin qu’ils puissent se familiariser avec ce nouveau concept tout en adoptant des protocoles thérapeutiques précis et rigoureux établis pour un éventail de pathologies et de lésions associées.

fournisseur matériel de perfusion

Mesokit-Perfuseur : uniquement 12 aiguilles
Société Médicale Strouk
4 Parc Mermoz
13008 Marseille
Tél. : 06 09 16 09 63
Fax : 04 91 76 48 25
autre adresse :
http://www.aestheticgroup.fr/Mesalyse/Mesa_Catheters.html pefuseur à 8 et 12 aiguilles pas trop cher

samedi 20 février 2010

hernie discale et quinton

traitement de la hernie discale par le sérum isotonique quinton





hernie discal et plasma de quinton

source de la page http://pagesperso-orange.fr/francois.epineuze/Hydrotomie.htm




L’hydrotomie percutanée à l’eau de mer.



Cette méthode qui consiste en l’injection sous cutanée de Quinton est en fait une réactualisation de ce que faisait le docteur René Quinton avant la première guerre mondiale.



Comme toujours, rien de vraiment nouveau sous le soleil, mais ça vaut qu’on s’arrête un moment sur cette merveilleuse technique qui va permettre très vraisemblablement de résoudre définitivement et sans aucun danger tous les problèmes de dos.

Il faut surtout bien comprendre ce qu’est l’hydrotomie et ainsi savoir exactement à quelle pathologie précise elle s’adresse afin de la proposer à ceux qui seront améliorés voire très souvent guéris à coup sûr et ne pas embarquer dans des espoirs vains n’importe qui.

Pour comprendre pourquoi cette méthode s’adresse en priorité aux discopathies rachidiennes, c’est-à-dire au mal de dos, voyons comment un dos se met à faire mal.

Le dos c’est des vertèbres qui sont empilées les unes sur les autres et entre lesquelles existent une sorte de petit coussin qui sert d’amortisseur : les disques intervertébraux. Au milieu de cette pile de vertèbres passe la moelle dans un canal, appelé canal rachidien, qui est constituée au dépend des corps vertébraux à leur partie postérieure et de cette moelle sortent, à travers la paroi latérale des vertèbres, des nerfs qui sont en fait des racines nerveuses qui vont aller innerver tous les organes du corps ainsi que tous les muscles.

Ces racines nerveuses sortent de chaque coté des vertèbres et pour cela doivent franchir un trou latéral prévu à cet effet de chaque coté des vertèbres. Il y en a un à gauche et à droite et la hauteur de ces trous n’est pas fixe, c’est bien là le problème, mais dépend de la hauteur de chaque disque rachidien et donc de l’intégrité de ces disques intervertébraux.



Si la hauteur d’un disque, entre 2 vertèbres, diminue pour des raisons variables selon les malades elle va automatiquement diminuer le diamètre des 2 trous correspondants, également nommé trous de conjugaison, et alors on comprend très bien que le diamètre diminuant, la racine nerveuse qui passe par ce trou va se trouver serrée, comprimée et c’est ça qui fait mal.



Le schéma qui suit indique comment les disques sont disposés par rapport aux vertèbres dans le cas, bien entendu, où tout est normal et où le sujet n’est pas encore atteint de pathologie discale.






Donc ce qui est la cause du mal de dos c’est le mauvais état du ou des disques intervertébraux qui, en diminuant de hauteur, provoquent une compression de racine(s) nerveuse(s) qui à son tour déclenche une sensation de douleur et même parfois en plus génère une paralysie.



Là il m’apparaît important d’introduire remarques et commentaires sur la façon dont on doit nécessairement traiter ce mal de dos.

Comme je viens d’en donner l’explication il s’avère clairement que le mal de dos est entièrement d’origine mécanique et que, en toute logique, à un problème d’ordre mécanique seule une réponse d’ordre mécanique sera appropriée.

On voit déjà combien le fait de donner des anti-inflammatoires dans le mal de dos est idiot puisqu’au lieu de répondre de façon mécanique on traite une inflammation qui n’existe pas !



De même la réponse chirurgicale, qui consiste à aller enlever un morceau du disque intervertébral qui comprime la racine nerveuse, peut de prime abord paraître logique et adaptée mais ne fait en réalité qu’aggraver le problème à moyen terme, même si il y a un soulagement à court terme du fait qu’on supprime immédiatement la compression mécanique de la racine nerveuse mais on ne résout pas le fait que le disque s’est affaissé et bien sûr va continuer à le faire ce qui rendra cette opération inutile car bien incapable d’empêcher le processus d’affaissement du disque de continuer. Sans compter que cette intervention, si près de la moelle épinière, est particulièrement risquée et se termine trop souvent par le fauteuil roulant à vie !

En médecine il faut, ou plutôt il faudrait, toujours garder le simple bon sens ; on sait que le mal de dos est d’origine mécanique car un ou plusieurs disques intervertébraux vont avoir tendance à s’affaisser progressivement et un jour cela aboutira à la compression d’une ou de plusieurs racines nerveuses source de douleur.

Soit.

Alors essayons de comprendre pourquoi ces fameux disques ne gardent pas leur hauteur et ont cette fâcheuse tendance à s’affaisser créant compression et douleur.



Comme l’a expliqué notre ami Michel Dogna dans le numéro 47 de Vérités Santé Pratique, de récents travaux ont démontré que si les disques intervertébraux avaient tendance à s’affaisser c’est parce qu’ils se déshydrataient, ce qui reste tout à fait dans la logique d’une cause d’ordre mécanique.

Donc, là aussi la logique de la maladie veut que si la déshydratation des disques intervertébraux soit la cause des douleurs de dos, le traitement sera donc la réhydratation de ces mêmes disques.

Il fallait dès lors trouver simplement le moyen de réhydrater les disques atteints afin de leur redonner l’épaisseur et la hauteur qu’ils avaient perdu et qui fut la cause de la survenue du mal de dos.

C’est ça l’hydrotomie percutanée à l’eau de mer, c’est la réhydratation des disques intervertébraux déshydratés, réhydratation qui redonne la hauteur perdue au cours du lent processus de déshydratation.



Maintenant, et pour être tout à fait complet dans mon exposé, il me faut expliquer comment se déroule cette méthode révolutionnaire.



L’eau de mer en question c’est le plasma de Quinton sous forme injectable, c’est-à-dire isotonique et non hypertonique comme la forme buvable connue depuis fort longtemps.



Quinton isotonique disponible chez Source Claire



En effet, si l’on savait exister cette très intéressante propriété du Quinton, il fallait toutefois en trouver qui soit injectable, grâce à la société Source Claire c’est dorénavant chose faite et on peut s’en procurer autant qu’il en faudra.



Donc on utilise un flacon de 250 cc de Quinton injectable que l’on fait diffuser au niveau de la région du dos que l’on veut traiter grâce à une tubulure de perfusion un peu spéciale que l’on a surnommé « pieuvre » à cause de sa terminaison qui aboutit à 12 aiguilles sous-cutanées. Ces aiguilles sont disposées au niveau de la région du dos à traiter, lombaire dorsale ou cervicale, de chaque coté de la colonne vertébrale, 6 aiguilles à gauche et 6 aiguilles à droite environ à 2 ou 3 cm du milieu du dos et espacées en hauteur de 3 à 4 cm. Au total 12 aiguilles sous-cutanées sont ainsi disposées à chaque séance.





Quant ceci est terminé il reste à ouvrir le robinet sur la tubulure de perfusion qui relie le flacon, accroché à un pied spécial de perfusion, aux aiguilles sous-cutanées installées comme je l’ai expliqué. On règle le débit à une goutte/seconde et on attend patiemment que les 250 cc d’eau de mer s’écoulent, ce qui prend au moins 45 mn.








Il faut cependant savoir que la durée de la première, et parfois de la deuxième séance peut être nettement plus courte surtout si les disques étaient très déshydratés.

En effet les 250 cc du flacon d’eau de mer peuvent être passés en 15 à 20 mn seulement au tout début du traitement.



Quand c’est fini on enlève les aiguilles et le tout est jeté car c’est bien entendu à usage unique.



L’effet est en général assez rapide à se faire sentir et parfois même dès la fin de la première séance il y a un mieux.

Comme c’est un produit entièrement naturel il n’y a aucune contre-indication.



Pour être le plus rapidement efficace possible il est souhaitable de ne pas espacer les 4 premières séances de plus d’une semaine, la bonne fréquence est donc une séance/semaine au début, puis on peut ensuite espacer à tous les 15 jours ou même 3 semaines à partir de la cinquième/sixième séance.



Au total il faudra bien 10 séances pour être le plus durablement efficace possible et ensuite des séances seront faites à la demande des patients en fonction de multiples facteurs qui pourraient être la source de la réapparition des douleurs du dos. Comme il n’y a pas deux cas pareils dans ce domaine je ne peux aborder ici tous les cas de figures possibles dans cette pathologie cependant de plus en plus fréquente.



Et quelques récents cas m’incitent à nouveau à insister sur plusieurs points essentiels pour aboutir à une guérison de cette pathologie du dos. Au risque de parodier Monsieur De La Palice je rappelle que commencer pour s’arrêter après la première ou la deuxième séance est idiot, en ce cas il eût fallu mieux ne jamais s’engager dans cette méthode.



Ce n’est pas parce que sont survenues des douleurs dans les jours qui ont suivi la première séance qu’aussitôt il faille tout abandonner, bien au contraire cela signifie que l’ensemble de l’axe rachidien est en train de bouger et c’est un très bon signe qui indique que les disques intervertébraux répondent positivement à ce traitement et donc il ne faut absolument pas s’effrayer d’une telle réaction et se dire que c’est le bon choix et qu’il faut continuer et qu’en tout état de cause les douleurs auront cessé dès la troisième séance au très grand maximum.



Oui, c’est exact et il faut le dire, il peut y avoir une réaction douloureuse, mais ça n’est pas une règle ni une constance, après la première séance et aussi après la deuxième mais jamais après la troisième. Ceci s’explique, comme je l’ai dit plus haut, mécaniquement, puisque c’est le principe d’action de cette méthode, par le fait que sous l’influence de la réhydratation des disques les vertèbres bougent un peu et cela est toujours à l’origine de douleurs, au demeurant très supportables et très passagères.



Aussi je tiens à répéter ici qu’il faut savoir ce qu’on veut et que le fait de pratiquer la première séance implique que l’on continue sinon tout le monde y perd, le ou la malade aura perdu son temps et son argent et le médecin aura perdu son temps qui aurait pu être attribué à quelqu’un d’autre.

Mais comme nous sommes en France, pays d’assistés à cause de la politique de la sécu, il faut encore signaler qu’il peut se produire aussi un autre phénomène après une séance, dans les heures qui suivent, phénomène parfaitement sans danger mais qui a tendance à prendre des proportions chez les anxieux et les hypochondriaques.

Ce phénomène, c’est la survenue possible de fièvre et de tremblements quelques heures après la séance manifestement parce que les organismes modernes ne sont plus du tout habitués aux produits naturels.

Quoiqu’il en soit ceci n’est absolument pas grave et l’erreur à ne pas commettre c’est d’appeler le premier médecin venu qui ne comprendra rien, qui de plus ne connaît absolument pas la méthode et qui ne manquera pas de mettre le ou la patiente sous traitement antibiotiques !

Si on est un gros douillet et qu’on veut un peu plus de confort, conformément aux habitudes que nous a données la sécu en instituant un assistanat chronique, on peut prendre un peu d’aspirine si bien entendu il n’y a pas de contre-indication à prendre ce médicament chimique.

Mais encore une fois et comme pour les douleurs éventuelles, ça n’est ni un effet secondaire ni une complication de la méthode et en tout cas jamais une raison pour différer la prochaine et séance et encore moins pour tout arrêter !

Maintenant, avant de conclure ce petit exposé, il convient d’aborder les autres localisations qui peuvent bénéficier de ces injections de Quinton.



Les autres localisations.



Le principe est assez simple : on peut traiter toutes les grosses articulations de la même façon que les disques intervertébraux, avec les mêmes outils : même tubulure ( la pieuvre ) et même flacon de Quinton de 250 cc.

Les articulations concernées en priorité sont au nombre de deux.

Les hanches :





La deuxième, c’est les genoux :



Je ne dirais pas plus sur ces deux localisations car le protocole de traitement est strictement le même que pour le dos.

Par contre, comme quoi aucune méthode n’est jamais la réponse absolue à tous les maux, il ne semble pas intéressant de l’utiliser pour les douleurs des épaules et des poignets, également pour les doigts ou les orteils.

Je l’ai essayé dans ces pathologies sans résultats supérieurs à la traditionnelle mésothérapie associée à un traitement homéopathique ciblé.



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En conclusion, je pense qu’il faut quand même dire que cette technique est absolument fantastique tant elle est simple, sans aucun danger ni aucune contre-indication, s’adresse à tous les âges et s’est montrée constamment efficace.

De plus elle permet d’éviter la chirurgie à fuir à tout prix car l’acte chirurgical enlève un morceau de disque et peut, pour le coup, compromettre gravement tout espoir de guérison, même par hydrotomie car on comprend très bien qu’on ne peut réhydrater qu’un disque encore entier et que s’il en manque des bouts le résultat risque d’être nettement moins certain !



Docteur François Epineuze.

echange sur les thérapies alternative pour soulager les douleurs dorsales

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